La première alternative économique consiste à créer un réseau de producteur.rices de semences forestières d’arbres endémiques de l’Amazonie de qualité au niveau local et national, en développant un système viable vers la souveraineté économique. Outre la diversification des revenus, ce réseau de producteur.rices de graines vise également à permettre aux caféiculteurs d’échanger entre eux des semences de différentes espèces dans le cadre de l’implémentation de systèmes agroforestiers. Les parcelles constituent une ressource importante tant pour la conservation de la forêt que pour l’utilisation durable permettant la stabilité économique des communautés locales. Chaque parcelle comporte différentes espèces dont la valeur découle du marché rare des graines de qualité de : tornillo, cèdre, noyer des Andes, moena, acajou, quina quina, ishpingo, etc.
La seconde alternative économique promeut la consommation de la noix du noyer des Andes (Juglans neotropica). Il s’agit d’une espèce d’importance internationale en raison de la qualité de son bois, ce qui l’a conduit à être largement exploitée. En conséquence, l’espèce tend à disparaître et son absence déséquilibre les écosystèmes dans lesquels elle était présente. La promotion de la noix de cet arbre vise alors à tirer des bénéfices économiques des noyers des Andes tout en favorisant sa conservation. En ce sens, Envol Vert incite les agriculteur.trices à consommer la noix de cet arbre et à la vendre empaquetée ou transformée.
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